Vers 1900, le Château Frontenac reflète la scission entre la classe bourgeoise anglophone et les résidents des classes populaires francophones. Ce sont majoritairement des clients américains ou anglo-saxons qui logent à l’hôtel. Cette marginalisation s’explique en partie par l’utilisation de l’anglais comme moyen de communication au sein de l’établissement. Dans les années 1930, la propagation de brochures publicitaires en français contribue à équilibrer le taux d’occupation du Château.